jeudi 25 février 2010
Conseil Constitutionnel : ça sent la chaussette !
Sur onze "membres" de cette institution, il y avait deux femmes il y a trois jours ; avec le départ de Dominique Schnapper, une des deux femmes et la nomination de trois nouveaux conseillers, dont deux UMP Jacques Barrot et Hubert Haenel, plus l'ex-socialiste Michel Charasse (qui se vante de manger des couilles de taureau, chacun ses goûts -on ne va faire de la psychanalyse de bistrot à propos de ce Monsieur, on le laisse à ses petits fantasmes !), il n'y a donc plus qu'une femme : Jacqueline de Guillenchmidt !
Trois mâles nommés en un jour ! Et vive la parité.
La Présidente de la délégation aux droits des femmes du Sénat, Madame Michèle André, proteste de ce recul de la parité dans un article publié par le Figaro.
Ces derniers jours, entre Najlaé (voir post précédent) accablée d'une double peine -battue et renvoyée au Maroc après une avoir déposé plainte pour violence au sein de sa famille en France- et ça : les signaux envoyés aux femmes sont clairs.
mercredi 24 février 2010
Les femmes et la retraite : toujours plus pauvres que les hommes !
En cette journée de mobilisation pour les retraites (je sais, le sujet n'est pas glamour !) il faut rappeler que les femmes en retraite perçoivent des pensions inférieures de 40 à 50 % à celles des hommes, qu'elles ont plus de mal à percevoir des pensions complètes parce qu'elles arrêtent de travailler pour élever leurs enfants comme si ce n'était pas un vrai travail -ce n'est pas considéré comme un travail marchand- et parce que leur salaire est encore considéré comme un "salaire d'appoint" ! Enfin , elles sont les grandes pourvoyeuses de temps partiels, assurant ainsi la flexibilité dont l'économie a besoin pour fonctionner.
Les chiffres et les tableaux comparatifs sont sur le site de l'INSEE ici et ici notamment.
Résultat : après avoir fait double journée pour un demi-salaire, les femmes constituent les gros bataillons des retraités pauvres, surtout celles qui on fait des travaux pénibles et non reconnus : ménage, soins aux malades, aux enfants, aux personnes âgées, employées d'artisans et de commerçants, qu'elles en soient ou non les conjointes.
Le cas des femmes d'artisans est dramatique : la plupart du temps, elles acceptent de travailler pour leur conjoint sans percevoir de salaire et sans être déclarées : tenue du téléphone, facturation, comptabilité, relances en-cours clients, et sans leur travail, l'atelier de leur conjoint aurait du mal à s'établir et à durer ; si vers l'âge de 50 ans, le mari artisan demande le divorce, elles se retrouvent sans aucun revenu, condamnées à recourir aux services sociaux et au RMI ou RSA malgré les multiples services rendus. Les femmes d'artisans doivent exiger un salaire et les cotisations aux organismes sociaux de la part du conjoint-employeur ! Ce n'est toujours pas obligatoire selon la règle non écrite sans doute, que le travail des femmes n'est pas un vrai travail. Qui compte dans la société patriarcale ? Sûrement pas les femmes et leur force de travail !
Rappel : mi-temps = demi-salaire = demi-chômage = demi-retraite !
Les chiffres et les tableaux comparatifs sont sur le site de l'INSEE ici et ici notamment.
Résultat : après avoir fait double journée pour un demi-salaire, les femmes constituent les gros bataillons des retraités pauvres, surtout celles qui on fait des travaux pénibles et non reconnus : ménage, soins aux malades, aux enfants, aux personnes âgées, employées d'artisans et de commerçants, qu'elles en soient ou non les conjointes.
Le cas des femmes d'artisans est dramatique : la plupart du temps, elles acceptent de travailler pour leur conjoint sans percevoir de salaire et sans être déclarées : tenue du téléphone, facturation, comptabilité, relances en-cours clients, et sans leur travail, l'atelier de leur conjoint aurait du mal à s'établir et à durer ; si vers l'âge de 50 ans, le mari artisan demande le divorce, elles se retrouvent sans aucun revenu, condamnées à recourir aux services sociaux et au RMI ou RSA malgré les multiples services rendus. Les femmes d'artisans doivent exiger un salaire et les cotisations aux organismes sociaux de la part du conjoint-employeur ! Ce n'est toujours pas obligatoire selon la règle non écrite sans doute, que le travail des femmes n'est pas un vrai travail. Qui compte dans la société patriarcale ? Sûrement pas les femmes et leur force de travail !
Rappel : mi-temps = demi-salaire = demi-chômage = demi-retraite !
mardi 23 février 2010
Najlae battue par son frère est expulsée au Maroc après avoir déposé plainte !
Après le meurtre de Tanja à Fontenay sous Bois où la police française a apparemment fauté par manque d'empathie et de vigilance, article du Monde ICI, le Réseau Education Sans Frontières -RESF 45- dans un communiqué annonce qu'une jeune marocaine de 19 ans venue en France pour échapper à un mariage forcé dans son pays, vient d'être expulsée par la préfecture du Loiret après avoir déposé une main courante auprès du commissariat de Montargis, et une plainte auprès de la gendarmerie de Chateaurenard pour violences commises à son endroit par son frère, chez qui elle réside quand elle n'est pas en cours au lycée professionnel Dolto à Olivet.
Décidément, les gendarmeries et les commissariats français continuent à s'illustrer en rajoutant de la violence à la violence. Je pensais naïvement que l'époque où on renvoyait chez elles, dans ce beau pays, les femmes battues avec leurs yeux au beurre noir et leurs dents cassées, histoire de se faire achever par le Prince Charmant -après avoir pris une main courante tout de même, on n'est pas des brutes !- était de l'histoire ancienne ! Mais selon les apparences, ces habitudes perdurent. La sécurité et la vie des femmes ne pèsent décidément pas lourd au pays des droits de l'homme si bien nommé !
Décidément, les gendarmeries et les commissariats français continuent à s'illustrer en rajoutant de la violence à la violence. Je pensais naïvement que l'époque où on renvoyait chez elles, dans ce beau pays, les femmes battues avec leurs yeux au beurre noir et leurs dents cassées, histoire de se faire achever par le Prince Charmant -après avoir pris une main courante tout de même, on n'est pas des brutes !- était de l'histoire ancienne ! Mais selon les apparences, ces habitudes perdurent. La sécurité et la vie des femmes ne pèsent décidément pas lourd au pays des droits de l'homme si bien nommé !
lundi 22 février 2010
Plus l'encadrement est féminin, plus l'entreprise réussit !
Selon une étude du CNRS à paraître dans sa revue d'avril "Travail, genre et société", il y a un lien entre bonnes performances des entreprises et encadrement féminisé.
- Meilleure rentabilité,
- Meilleure productivité,
- Meilleures performances économiques
- Plus de créations d'emplois.
C'est en substance ce que dit un article consultable sur Eco89 aujourd'hui.
Je me demande bien ce qu'on attend ; la récession économique qui frappe comme d'habitude les plus faibles dont les femmes, est due à une crise de liquidités ET à une crises de compétences au sein des banques et des autres entreprises où règne un apartheid des sexes féroces (les salles de marchés des banques par exemple). Je ne vais pas parler des industriels, leur cas est pathétique.
Quand on voit comment les (rares) femmes à candidater sont écartées des procédures de recrutement malgré l'intérêt de leur parcours professionnel (je sais de quoi je parle, je connais les deux côtés du bureau !) par les DRH et tous les intervenants des ressources (in)humaines, on finit par se persuader que ce que les mecs craignent le plus, c'est la compétition avec les femmes parce qu'ils savent qu'ils ne sont clairement pas à la hauteur !
- Meilleure rentabilité,
- Meilleure productivité,
- Meilleures performances économiques
- Plus de créations d'emplois.
C'est en substance ce que dit un article consultable sur Eco89 aujourd'hui.
Je me demande bien ce qu'on attend ; la récession économique qui frappe comme d'habitude les plus faibles dont les femmes, est due à une crise de liquidités ET à une crises de compétences au sein des banques et des autres entreprises où règne un apartheid des sexes féroces (les salles de marchés des banques par exemple). Je ne vais pas parler des industriels, leur cas est pathétique.
Quand on voit comment les (rares) femmes à candidater sont écartées des procédures de recrutement malgré l'intérêt de leur parcours professionnel (je sais de quoi je parle, je connais les deux côtés du bureau !) par les DRH et tous les intervenants des ressources (in)humaines, on finit par se persuader que ce que les mecs craignent le plus, c'est la compétition avec les femmes parce qu'ils savent qu'ils ne sont clairement pas à la hauteur !
samedi 20 février 2010
La publicité du gouvernement pour le grand emprunt
La communication gouvernementale selon Thierry Saussez : la dernière publicité pour le Grantemprunt représentant Marianne enceinte tout de blanc vêtue y compris le bonnet phrygien, normalement rouge révolutionnaire ! Je ne mets pas l'affiche : ça va jurer avec ma (petite) charte graphique ;-) ! Pour la voir c'est ici chez Emelire.
Ayant travaillé dans la publicité, cette affiche, ça s'appelle indiscutablement une bouse. Un rien pétainiste en plus.
Les femmes servent à tout, tout le temps, partout : elles font la vaisselle et 80 % des tâches ménagères, elles sont priées de rentrer dans leur cuisine quand les récessions frappent pour laisser la place aux hommes (billet à venir sur une anecdote entendue à l'Apec), elles élèvent les enfants pendant que les leviers du pouvoir sont tenus par les hommes, enfin elles font joli sur des affiches publicitaires (à goût douteux la plupart du temps) sans imagination. C'est vrai que Marianne est plus gracieuse que Raymond, même enceinte ! Mais quand même, quand je vois cela, je ne peux m'empêcher de penser que les femmes -malgré leur double journée pour un demi-salaire- constituent 82 % des retraités pauvres avec des pensions moyennes inférieures de 50 % à celles des gars ! Mais c'est parce que j'ai mauvais fond et mauvais esprit. Nous, ce qu'on veut, c'est pas faire joli sur des affiches, mais être traitées comme des humains à égalité avec les hommes : égalité de traitement, égalité de salaire, participer aux décisions qui nous concernent, choisir OU PAS d'avoir des enfants sans pressions de la société, des crèches pour pouvoir travailler en cotisant à une vraie retraite, avoir accès à la formation et à la promotion professionnelle. Les femmes : jolies sur les affiches mais maltraitées par la société, malgré les services rendus !
Ayant travaillé dans la publicité, cette affiche, ça s'appelle indiscutablement une bouse. Un rien pétainiste en plus.
Les femmes servent à tout, tout le temps, partout : elles font la vaisselle et 80 % des tâches ménagères, elles sont priées de rentrer dans leur cuisine quand les récessions frappent pour laisser la place aux hommes (billet à venir sur une anecdote entendue à l'Apec), elles élèvent les enfants pendant que les leviers du pouvoir sont tenus par les hommes, enfin elles font joli sur des affiches publicitaires (à goût douteux la plupart du temps) sans imagination. C'est vrai que Marianne est plus gracieuse que Raymond, même enceinte ! Mais quand même, quand je vois cela, je ne peux m'empêcher de penser que les femmes -malgré leur double journée pour un demi-salaire- constituent 82 % des retraités pauvres avec des pensions moyennes inférieures de 50 % à celles des gars ! Mais c'est parce que j'ai mauvais fond et mauvais esprit. Nous, ce qu'on veut, c'est pas faire joli sur des affiches, mais être traitées comme des humains à égalité avec les hommes : égalité de traitement, égalité de salaire, participer aux décisions qui nous concernent, choisir OU PAS d'avoir des enfants sans pressions de la société, des crèches pour pouvoir travailler en cotisant à une vraie retraite, avoir accès à la formation et à la promotion professionnelle. Les femmes : jolies sur les affiches mais maltraitées par la société, malgré les services rendus !
jeudi 18 février 2010
Fait de société
A Fontenay sous Bois, France, une fois de plus une femme meurt sous les coups de son conjoint ou ex-conjoint dans l'indifférence générale. Elle se serait plainte de menaces selon Le Parisien et Libération.
Le procureur de la République dit avoir fait son travail.
En attendant, une femme a encore fait les frais de la frustration et de la rage masculines. Mais, ouf, la lutte contre les violences faites aux femmes est déclarée Grande cause nationale 2010. On respire tout de suite mieux !
Le procureur de la République dit avoir fait son travail.
En attendant, une femme a encore fait les frais de la frustration et de la rage masculines. Mais, ouf, la lutte contre les violences faites aux femmes est déclarée Grande cause nationale 2010. On respire tout de suite mieux !
mardi 9 février 2010
Alphaville
Je revois toujours avec le même enthousiasme le beau film de Jean Luc Godard, Alphaville, film sur la lumière, qui se passe dans une ville froide, dans une autre époque et dans une autre galaxie, où les gens n'éprouvent pas d'émotions et pas de sentiments. Un ordinateur précurseur du HAL de 2001, Odyssée de l'espace de Stanley Kubrick, contrôle tout, les consciences comme les ascenseurs. Anna Karina, superbe, y joue le rôle d'une sorte de poupée désarticulée et sans affects, guidant le héros dans le dédale de la ville.
On peut s'amuser à y trouver les citations cinématographiques des oeuvres et des cinéastes dont s'inspire Godard, mais aussi les citations d'Alphaville chez des cinéastes postérieurs qui se sont inspirés de l'oeuvre de JLG ; c'est inépuisable !
Les dialogues sont typiquement "godardiens" remplis de poésie et de trouvailles géniales.
J'en ai choisi quelques-unes d'Alpha 60 et sa voix de trachéotomisé : "Mon projet est juste, je travaille pour le bien universel". Et "Tous les jours, il y a des mots qui disparaissent ; ils sont remplacés par de nouveaux mots qui correspondent aux idées nouvelles". C'est tellement prémonitoire et juste que ça fait froid dans le dos...
Et, en ces temps de backlash, de retour des religions "révélées" nihilistes et obscurantistes, haineuses des femmes, j'ai piqué celle-ci, tellement étonnante : c'est un dialogue entre ALPHA 60 et Lemmy Caution, l'ordinateur-ordonnateur des oeuvres et des habitants d'Alphaville posant les questions :
- Qu'elle est votre religion ?
- Je crois aux données immédiates de la conscience !
Moi, ça me va bien.
jeudi 4 février 2010
Les femmes, éternelles victimes de la frustration des mâles
APPEL A MOBILISATION pour Marina Lebeau, enceinte de 8 mois, assassinée par son ami à Saint Nazaire.
Marche de soutien samedi 6 février 2010 à 14 H Place de la Gare.
Article de Presse Océan :
Dimitri se mobilise pour préparer l'hommage à Marina. M. Vaillant-Prot
Marche de soutien samedi 6 février 2010 à 14 H Place de la Gare.
Article de Presse Océan :
Hommage à Marina Lebeau
Dimitri se mobilise pour préparer l'hommage à Marina. M. Vaillant-Prot
La mobilisation se poursuit après le meurtre de la jeune Nazairienne, le 21 janvier dernier, par son ex-ami.
Hier, presque 3 000 internautes se sont déjà exprimés sur le réseau social Facebook ; les proches de la victime et de la famille ont ouvert un groupe « Hommage à Marina Lebeau » aux lendemains du sordide fait divers dans un immeuble près de la cité scolaire de Saint-Nazaire.
La jeune femme de 29 ans avait été découverte jeudi midi (21 janvier) dans son appartement. Tuée chez elle la veille au soir, alors qu'elle devait accoucher le 11 février. Son visage était lacéré au couteau. L'autopsie a conclu à un décès sous la violence des coups. Son ex-ami, un jeune Angevin de 24 ans, s'était livré aux gendarmes du Pellerin deux jours après les faits, en reconnaissant être responsable du meurtre.
Deux visites à sa fille
Soutenues moralement par de très nombreuses personnes, Sylvie, la maman de Marina et Fanny sa fille cadette, ont toujours autant de mal à comprendre « le déchaînement de tant de violence ». Elles ont décidé de faire appel à une avocate et ont accepté le soutien des associations défendant le droit des femmes et des familles, prêtes à se porter partie civile. Ainsi épaulée, « je pourrais rédiger lettres et courriers dont une destinée au ministère de la Justice ; car il n'est pas question qu'un tel acte, que je considère comme un geste barbare, soit impuni ».
La maman a souhaité ardemment voir le corps de sa fille. Elle y a été autorisée samedi. « Je ne la reconnaissais pas. Ses cheveux étaient cachés par les bandages et les traces de couteaux étaient visibles malgré les efforts faits pour les dissimuler ». Ce qui l'a frappé, ce sont « ses deux mains abîmées ; je pense qu'elle a tenté de se défendre ».
Sylvie a décidé de retourner à Nantes, pour une seconde et dernière visite à sa fille avant les funérailles prévues mercredi en début d'après-midi à l'église du Pertuishaud. Amis et familles seront à ses côtés. Comme Cindy. La jeune femme est mobilisée car au-delà des liens avec la famille, elle dénonce « la gravité du meurtre. Que cela puisse arriver en 2010, c'est difficile à admettre ».
M. Vaillant-Prot
La jeune femme de 29 ans avait été découverte jeudi midi (21 janvier) dans son appartement. Tuée chez elle la veille au soir, alors qu'elle devait accoucher le 11 février. Son visage était lacéré au couteau. L'autopsie a conclu à un décès sous la violence des coups. Son ex-ami, un jeune Angevin de 24 ans, s'était livré aux gendarmes du Pellerin deux jours après les faits, en reconnaissant être responsable du meurtre.
Deux visites à sa fille
Soutenues moralement par de très nombreuses personnes, Sylvie, la maman de Marina et Fanny sa fille cadette, ont toujours autant de mal à comprendre « le déchaînement de tant de violence ». Elles ont décidé de faire appel à une avocate et ont accepté le soutien des associations défendant le droit des femmes et des familles, prêtes à se porter partie civile. Ainsi épaulée, « je pourrais rédiger lettres et courriers dont une destinée au ministère de la Justice ; car il n'est pas question qu'un tel acte, que je considère comme un geste barbare, soit impuni ».
La maman a souhaité ardemment voir le corps de sa fille. Elle y a été autorisée samedi. « Je ne la reconnaissais pas. Ses cheveux étaient cachés par les bandages et les traces de couteaux étaient visibles malgré les efforts faits pour les dissimuler ». Ce qui l'a frappé, ce sont « ses deux mains abîmées ; je pense qu'elle a tenté de se défendre ».
Sylvie a décidé de retourner à Nantes, pour une seconde et dernière visite à sa fille avant les funérailles prévues mercredi en début d'après-midi à l'église du Pertuishaud. Amis et familles seront à ses côtés. Comme Cindy. La jeune femme est mobilisée car au-delà des liens avec la famille, elle dénonce « la gravité du meurtre. Que cela puisse arriver en 2010, c'est difficile à admettre ».
M. Vaillant-Prot
lundi 1 février 2010
A quoi sert le sommet de Davos ?
A en voir les images, le sommet de Davos est (cocher la bonne réponse) :
- un congrès de spécialistes de la lutte contre l'alopécie ?
- une conférence sur les bienfaits de la détection précoce du cancer de la prostate ?
- la réunion annuelle d'un Club viril très sélect ?
Le site Rue89 explique ici les raisons de son inutilité. Dans le point numéro 2, il insiste sur le "réseautage", l'échange de cartes de visite et les contacts noués entre politiciens, entrepreneurs et économistes, tous à peu de chose près, de genre mâle ! Etonnez-vous après cela que les femmes ne soient nulle part où se prennent les décisions, puisqu'ils se cooptent entre eux !
Leur but cette année à Davos "Repenser, redessiner, reconstruire l'état du monde" ! Quand on sait qu'ils n'ont rien vu venir de la crise de liquidités qui nous vaut la récession implacable que nous vivons, crise qui leur est imputable puisqu'ils ont le pouvoir partout, franchement, on meurt de
rire ! Et combien de tonnes de gaz à effet de serre envoyées dans l'atmosphère pour RIEN ?
- un congrès de spécialistes de la lutte contre l'alopécie ?
- une conférence sur les bienfaits de la détection précoce du cancer de la prostate ?
- la réunion annuelle d'un Club viril très sélect ?
Le site Rue89 explique ici les raisons de son inutilité. Dans le point numéro 2, il insiste sur le "réseautage", l'échange de cartes de visite et les contacts noués entre politiciens, entrepreneurs et économistes, tous à peu de chose près, de genre mâle ! Etonnez-vous après cela que les femmes ne soient nulle part où se prennent les décisions, puisqu'ils se cooptent entre eux !
Leur but cette année à Davos "Repenser, redessiner, reconstruire l'état du monde" ! Quand on sait qu'ils n'ont rien vu venir de la crise de liquidités qui nous vaut la récession implacable que nous vivons, crise qui leur est imputable puisqu'ils ont le pouvoir partout, franchement, on meurt de
rire ! Et combien de tonnes de gaz à effet de serre envoyées dans l'atmosphère pour RIEN ?
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