Depuis le viol, le massacre et le meurtre début avril de Monique par un 'nindividu semi-clochardisé, défavorablement connu des services de police ' avec un casier judiciaire épais comme le Bottin, selon les policiers qui l'ont coincé dans les deux jours avec son ADN, meurtre évoqué dans mon précédent article, l'actualité a été remplie d'annonces de méfaits masculins à Nantes, à Grande Combe dans le Gard, deux tueries ; à Drancy où un délit de fuite a dégénéré, et l'enlèvement crapuleux du père d'un entrepreneur de cryptomonnaies aux fins de chantage, en plein Paris, faisant la BRB -Brigade de Répression du Banditisme- intervenir dans l'Essonne et arrêter quatre 'personnes' SIC ! Et je m'arrête là, car c'est toutes les cinq minutes. L'actualité est très occupée par leurs petits et grands méfaits. A Rennes sans arrêt, à Fougères un blessé au couteau, au Canada, c'est une voiture dans la foule, des blessés et des meurtres mimétiques, les hommes étant à couteau tirés et ayant manifestement un pet au casque, plus un comportement de frustrés congénitaux.
Trait commun à tous ces actes délictueux, ils sont tous commis par des hommes. Autre trait commun, le traitement journalistique de ces 'faits divers' : la non désignation du sexe des auteurs, nommés sous les vocables de l'inusable 'jeunes', d' 'individus', et 'personnes', tout vaut mieux que de désigner le superbe Top Model de la Création comme le coupable récurrent et compulsif.
La tuerie du lycée privé catholique à Nantes : unE morte, trois blessés. Un des élèves de seconde (16 ans) de l'établissement tue de 57 coups de couteau, une jeune fille du lycée : en bon anglais, c'est un overkill, en bon français, un anéantissement. Mais ce ne sera pas classé en féminicide. Mise en place d'une cellule psychologique, psys molosses du patriarcat qui vont dire que c'est sans pourquoi, marches blanches. Le pauvre bouchon était un taiseux, il ne parlait à personne et regardait tout le monde de travers. Surtout les filles. Le coup de folie est quasiment officiel, encore un dingue. Comme c'est commode.
Grande-Combe dans le Gard : un malien musulman succombe dans la mosquée sous les 57 coups de couteau d'un 'nindividu bosnien' (tiens, on disait plutôt Bosniaque il y a quelques années, non ?) animé par la haine de la religion musulmane. Ce qui va donner prétexte aux anathèmes habituels à base de procès en 'islamophobie' (tiens, avant on disait racisme ?) des extrêmes-gauches tellement prévisibles, acte terroriste d'abord présumé, puis le Parquet déclasse l'assassinat de ce pauvre musulman pieux en 'acte en contexte isolé' (admirez les efforts lexicaux, c'est impressionnant). Le terrorisme, c'est sous drapeau, s'il en manque, ce n'est plus du terrorisme, le terrorisme masculin, pourtant plaie courante, n'est pas répertorié par la justice. Le néologisme 'islamophobie' n'est qu'une diversion pour ne pas nommer le mâle. Toutes ces tueries ont un commun dénominateur qui est le sexe masculin, pas l'ethnie, ni la religion. Ils se tuent entre eux, sous tous prétextes. Ils tuent des femmes et des enfants. Ils tuent des animaux. Et tout est bon pour faire diversion, notamment la manipulation du vocabulaire. Comme ça sert les buts des obscurantistes et de leurs idiots utiles de gauche qui tentent de nous imposer leur code juridique de la charia, ça tombe on ne peut mieux. Ils instrumentalisent la victime sans vergogne. Les réseaux sociaux résonnent d'anathèmes contre l'extrême-droite ou la République laïque qui persécuterait les femmes voilées : toutes celles qui montrent une opposition à ce stigmate des seules femmes sont bien sûr d'extrême-droite pour ces gardes rouges et autres commissaires du peuple.
Drancy : un parmi 'léjeunes' surpris et interpelé en plein rodeo urbain commet un délit de fuite, tandis que les autres 'zindividus' (désolée, j'utilise le vocabulaire des médias ventriloques) attaquent les policiers qui tentent d'arrêter le viril cirque du rodéo. Un policier fait usage de son arme pour se défendre, et blesse un des délinquants mâles. Tout cela empaqueté par la presse dans un verbatim consensuel, ne surtout pas nommer le problème. Le ministre déraille sur 'la violence de la société', (tout le monde mis dans le même sac ?) et promet une fois de plus de sévir. Entendez-moi bien, je n'aime pas trop la police non plus, rien qu'à voir la façon dont ils m'ont reçue deux fois en quelques dizaines d'années à Rennes, mais ces accusations permanentes de volonté de tuer des mecs qui font n'importe quoi, dont le comportement met la vie des gens en danger, m'insupportent. Les mecs prennent leurs risques, personne ne les oblige à se comporter comme des imbéciles. Il est temps de dire qu'ils cherchent des crosses en permanence.
Les attaques de prisons et les menaces au personnel pénitentiaire jusque chez eux, l'incendie de leurs voitures, par un mystérieux groupe d'hommes trafiquants de drogue, la DZ mafia, originaire des quartiers nord de Marseille, défendant désormais leurs territoires et 'points de deal' partout en France, et qui se seraient énervés par les promesses du ministre des prisons de faire des quartiers isolés pour ces bandits dans les prisons françaises d'où ils mènent leur business : ces quartiers les ruineraient et leur feraient perdre le contrôle du commerce. Tout est prétexte à menaces, y compris à l'état régalien.
Paris, ces derniers jours : l'auto-neutralisation de cette désastreuse caste sociale est en cours. Ils vont s'entretuer pour quelques plaques. Une 'nouvelle délinquance' apparaît avec les cryptomonnaies qui sont déjà en soi un parasitisme sur des ressources spéculatives non existantes puisqu'elle sont dématérialisées, parasitisme qui va faire florès car on est une espèce avide ; déjà des commerçants et des villes les acceptent comme moyen de paiement. Il faut vivre avec son temps : l'alibi de tous les renoncements. Tiens, ça me fait penser à Jack Lang officialisant le graffiti urbain et l'élevant au rang d'art, parce qu'il est impossible de lutter contre les barbouillis des garçons sur les murs.
Oublié le fait que battre monnaie était le privilège des états souverains (pour payer leurs guerres à l'origine, et les soldats qui la font, le ver était dans le fruit ;((, mais désormais n'importe quel connard qui se pense puissant peut lancer la sienne. Musk ou Trump par exemple. Et comme c'est une monnaie qui circule à la vitesse de l'éclair et qu'elle ne nécessite qu'un code informatique personnel pour l'acheter, l'échanger et l'accumuler, il n'est pas difficile d'imaginer que des mâles désœuvrés vont tenter des coups, de préférence violents et hors-normes puisque comme disent les flics, les regrettés gangsters du grand banditisme à code d'honneur, la norme ancienne (aha ah, ils ont regardé trop de films de Melville !), ont laissé la place à des mecs sans foi ni loi, sans code de bonne conduite, mais à kalachnikov et dress code noir, masque plus cagoule, comme ceux qui terrorisent les rennaises en plein dimanche après-midi pendant que le ministre de l'intérieur et la maire se battent à l'unisson les flancs d'impuissance. C'est vraiment pas de chance ! Après toutes ces pissotières de plastique en forme de fruit pour leur permettre de la sortir en public alors que c'est interdit par le code civil, après tout ces terrains de foot moches concédés pour tenter de calmer la rage masculine (et sur lesquels il n'y a JAMAIS personne !) ils reviennent lui faire dans les bottes. Mais quelle ingratitude noire !
Pour les clueless, les naïves et les niais, j'ai trouvé une citation qui explique. Oui, je travaille, moi. Dans le Deutéronome, de Moïse :
" Depuis le jour où Dieu créa l'homme sur la terre, d'un bout du monde à l'autre est-il arrivé quelque chose d'aussi grand, a-t-on jamais connu rien de pareil ? "
Oh, la belle créature, tellement au-dessus de vulgum pecus ! Clairement, ils ne se prennent pas pour de la petite bière. Rajoutez-y le silence immuable des femmes (très souvent parmi les victimes, pourtant) et leur légendaire pavé sur la langue, vous avez une vue d'ensemble du tableau. Et il est moche.
Il est temps de leur apprendre la frustration et comment la canaliser ; il est temps qu'il se fassent leurs courses, à manger et qu'ils s'entretiennent tout seuls ; il est temps de leur faire comprendre qu'ils ne sont pas les ayant-droit qu'ils pensent être, que personne n'est à leur service. Il est temps que la chaîne des femmes qui assurent leur entretien de mères en filles, de sœurs en épouses se brise, ce qui rendra service à toute la société. Il est temps de les responsabiliser enfin. Pendant qu'ils se prendront en charge eux-mêmes, ils auront moins de temps à consacrer à leurs mauvaises actions ; moins de loisirs, moins de tentation de nuire à la société. Laquelle passe son temps à les glorifier eux et leurs méfaits, et surtout à les recenser sans jamais dénoncer le coût social de leur inconduite. Et puis, il y a plein de choses intéressantes et épanouissantes à faire dans une vie de femme hors de l'enclos familial. Faire famille en gâchant ses diplômes et ses talents est vu et revu. L'imagination au pouvoir. Faire fructifier votre capital culturel par exemple, puisque les femmes qui sont excellentes partout, et surtout à l'école, ont la chance d'en avoir un.